On peut lire tous les livres, assister à nombre de conférences, participer à de nombreux ateliers, chercher l'inspiration et la motivation ici et ailleurs, mais tant qu'on ne passe pas à l'action, tant qu'on ne s'installe pas aux commandes de sa vie, on ne maîtrise pas sa destinée, on ne gère pas son bonheur.
La formule du groupe de soutien semble une formule reconnue et efficace. À ma connaissance, le bonheur, ce bien universel si désirable, ne fait l'objet d'aucun groupe de soutien en ce troisième millénaire. Il est donc temps de créer une structure physique qui permettra l'établissement d'une synergie du bonheur, d'un réseau par lequel le courant passe.
Les membres font voeu de bonheur comme d'autres font voeu de pauvreté, de chasteté ou d'obéissance. Faire voeu de bonheur est le plus grande aide humanitaire que l'on puisse exercer. Le bonheur est une obligation personnelle, un devoir moral. Le bonheur universel est la somme du bonheur individuel.
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