Richard Maurice Bucke (1837-1902) |
Richard Maurice Bucke, considéré comme un psychiatre d'avant-garde, a reçu son doctorat en médecine de l'université McGill de Montréal en 1862 et a poursuivi ses études à Londres et à Paris avant de revenir au Canada exercer sa profession de psychiatre en Ontario. Des circonstances particulières et son esprit aventurier l'avaient conduit dans sa jeunesse dans des expéditions dans des conditions de froid extrême dans l'Ouest des États-Unis qui s'étaient soldées par l'amputation d'un pied et d'une partie de l'autre. On peut donc admirer l'extraordinaire courage qui lui permis de poursuivre une carrière remarquable et des accomplissements hors du commun en dépit de ce handicap.
L'oeuvre maîtresse de Richard Maurice Bucke est Cosmic Consciousness: A Study in the Evolution of the Human Mind, publiée en 1901 un an avant sa mort, suite à une chute sur la glace un soir de février. Cet ouvrage a été traduit en français et publié en 1987 aux Éditions du IIIe Millénaire sous le titre La Conscience cosmique.Outre ses occupations professionnelles, sociales et familialesl, Richard Maurice Bucke a consacré toutes ses énergies à l'approfondissement de cette question et il a fouillé 16 cas précis de personnalités connues comme Jésus, le Bouddha, Balzac, etc. Richard Maurice Bucke s'est passionné pour le sujet de la conscience cosmique après avoir vécu ;lui-même une expérience de ce genre à Londres en 1872. Une similitude de vues et des affections communes unissaient certes James Allen et le Dr Bucke en dépit de la distance, James Allen cite à l'occasion le Dr Bucke et l'objet de son admiration, Walt Whitman.
Bien que La Conscience cosmique soit une oeuvre monumentale et que la question me fascine, ce n'est pas cet ouvrage qui est la cause de mon admiration envers Richard Maurice Bucke, Non, c'est plutôt un ouvrage que j'ai traduit et qui n'a pas trouvé preneur, Man's Moral Nature, publié à Londres en 1879, un ouvrage absolument remarquable qui ne s'est pas vendu à plus de 4 exemplaires l'année de sa publication et qui n'a pas connu beaucoup plus de succès par la suite.
J'ai lu plein d'ouvrages de psys à succès, en tous genre, et aucun ne me semble plus brillant que cet ouvrage de jeunesse du Dr Bucke. La valeur morale de l'homme, selon le docteur Bucke, c'est la foi et l'amour par opposition à la peur et à la haine. Le grand mal de l'humanité, c'est la haine et le principal moteur d'évolution humaine est la musique. Le docteur Bucke se livre à une brillante analyse dans une oeuvre très érudite et universelle, abondamment documentée, une oeuvre impressionnante à tous points de vue.
Voilà je tenais à livrer ce témoigne d'appréciation envers une oeuvre méconnue et oubliée, absolument étonnante.
Par la suite, j'ai lu et traduit, Thoughts are Things (Les Pensées sont des choses) de Prentice Mulford où il est aussi dit qu'il faut ouvrir son coeur et aimer le plus de choses possible. L'un et l'autre, le docteur Bucke et Prentice Mulford, sont venus corroborer ce sage enseignement du Dr Harish Verma de New Delhi en plein Navaratri qui m'avait appris la véritable signification de Durga. Pour réussir, il faut chasser la négativité. En d'autres mots, il n'y a pas de succès possible sans positivité.
L'oeuvre maîtresse de Richard Maurice Bucke est Cosmic Consciousness: A Study in the Evolution of the Human Mind, publiée en 1901 un an avant sa mort, suite à une chute sur la glace un soir de février. Cet ouvrage a été traduit en français et publié en 1987 aux Éditions du IIIe Millénaire sous le titre La Conscience cosmique.Outre ses occupations professionnelles, sociales et familialesl, Richard Maurice Bucke a consacré toutes ses énergies à l'approfondissement de cette question et il a fouillé 16 cas précis de personnalités connues comme Jésus, le Bouddha, Balzac, etc. Richard Maurice Bucke s'est passionné pour le sujet de la conscience cosmique après avoir vécu ;lui-même une expérience de ce genre à Londres en 1872. Une similitude de vues et des affections communes unissaient certes James Allen et le Dr Bucke en dépit de la distance, James Allen cite à l'occasion le Dr Bucke et l'objet de son admiration, Walt Whitman.
Bien que La Conscience cosmique soit une oeuvre monumentale et que la question me fascine, ce n'est pas cet ouvrage qui est la cause de mon admiration envers Richard Maurice Bucke, Non, c'est plutôt un ouvrage que j'ai traduit et qui n'a pas trouvé preneur, Man's Moral Nature, publié à Londres en 1879, un ouvrage absolument remarquable qui ne s'est pas vendu à plus de 4 exemplaires l'année de sa publication et qui n'a pas connu beaucoup plus de succès par la suite.
J'ai lu plein d'ouvrages de psys à succès, en tous genre, et aucun ne me semble plus brillant que cet ouvrage de jeunesse du Dr Bucke. La valeur morale de l'homme, selon le docteur Bucke, c'est la foi et l'amour par opposition à la peur et à la haine. Le grand mal de l'humanité, c'est la haine et le principal moteur d'évolution humaine est la musique. Le docteur Bucke se livre à une brillante analyse dans une oeuvre très érudite et universelle, abondamment documentée, une oeuvre impressionnante à tous points de vue.
Voilà je tenais à livrer ce témoigne d'appréciation envers une oeuvre méconnue et oubliée, absolument étonnante.
Par la suite, j'ai lu et traduit, Thoughts are Things (Les Pensées sont des choses) de Prentice Mulford où il est aussi dit qu'il faut ouvrir son coeur et aimer le plus de choses possible. L'un et l'autre, le docteur Bucke et Prentice Mulford, sont venus corroborer ce sage enseignement du Dr Harish Verma de New Delhi en plein Navaratri qui m'avait appris la véritable signification de Durga. Pour réussir, il faut chasser la négativité. En d'autres mots, il n'y a pas de succès possible sans positivité.
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